En justifiant un avis sur le canari appelé Timbrado Espagnol
Nous avons vu dans les différents articles publiés dans cette revue, à l'occasion de l'enquête sur la chanson du Pays, qu'on maintient des critères très opposés sur la chanson et la dénomination de l'Espagnol Timbrado. Pour quelques, pour lesquels ils n'ont pas connu un autre type de chanson ni une autre dénomination, ils considèrent que doit continuer en étant appelé Timbrado et persister l'actuel Code ; d'autres, croient que cette dénomination est absurde pour estimer que les Timbres, comme elles sont définis dans le Code, sont rulos et, par conséquent, ils ne sont pas des sujets de base de cette modalité de chanson, ce pourquoi n'est pas correct un tel nom ; d'autres, enfin, croient qu'en changeant le nom de d'Timbrado par celui d'Espagnol et en maintenant les actuelles directives du Code, il est suffisant pour continuer la tâche culturelle entreprise dans la culture d'un canari tellement intéressant, en ne devant leur créer aucune confusion et désorientations à ses cultivateurs par les critiques répétées qui fait l'objet par lesquelles ils les exposent.
Nous devons se convaincre tous, qui n'ont jamais existé, par personne, l'animosité plus minimale vers la culture de la bonne chanson du Pays. Ce qui peut être pris comme érotisme, n'est pas plus qu'une conséquence propre de l'incompréhension des concepts techniques qu'ils se sont agi d'inculquer en bien dont ils cultivent cette modalité de chanson, et suis sûr qui existerait une plus grande compénétration et une disposition à la discussion de critères techniques, si dans la conscience de tous les amateurs de bonne volonté, il existait des connaissances plus fermes que ce qu'est la chanson des oiseaux en général.
Malheureusement, il a été inculqué dans l'esprit de ce qui est cultivateurs du canari le Pays, de principes techniques et de concepts erronés, qu'ils sont très difficiles à déraciner, principalement s'il existe des préjugés sur la personnalité canarien Roller dont ils l'essayent. Ceux que depuis de nombreuses années nous pratiquons la canari culture Roller, nous sommes ou devons être - dans contre de l'avis général dans très de supérieures conditions techniques d'interprétation de ce qui est qui est la chanson des oiseaux.
La première confusion que soutiennent les amateurs à la chanson du Pays, et qu'il est nécessaire de clarifier préalablement, il est celle de croire que la dénomination de le
Des notes de la chanson Roller seront seulement applicables à la chanson des canaris de cette race, quand en réalité sont beaucoup les oiseaux sauvages qui émettent des notes semblables, sans que pour cela nous cessions de les appeler d'une autre manière de celles adoptées internationalement, ou dans leur traduction correspondant à celle de tous les passages.
Tous nous savons que les oiseaux de différente et encore de la même espèce, ne chantent pas précisément égal. Cependant, si nous analysons la chanson de tous, nous observerons une certaine similitude de structure ou de composition phonétique dans différents passages ; quelques, ils les émettent avec rythme plus accéléré ; d'autres, le modulent plus parfaitement, et avec vocalise plus agréable ; d'autres, l'expriment avec davantage de languide. En définitive : une même note peut être recueillie avec des caractéristiques variées selon le tempérament des oiseaux et, surtout, par les conditions particulières et les facultés des respectifs organes producteurs de chanson, puisque ceux-ci sont susceptibles de varier la tonalité et la sonorité, en accord avec des conditions physiques de résonance par disposition spéciale de la concavité buccale et du mouvement du bout.
Les flutes émises par un rossignol, serin, verdier, etc., etc., sont semblables, puisque sa structure phonétique est semblable, en différenciant uniquement dans le rythme (plus ou moins rapides), dans la modulation (flexions de la voix), dans le ton (grave, aigu, plongée, sourd), et dans la forme d'expression (dur, grave, heureux, triste). Toutes sont des flutes, et, toutefois, malgré une telle dénomination (flutes), non c'est pourquoi, cette note est propre du Roller canarien.
Arrive également avec les roulades ou les notes d'eau, cloqueos, des timbres (cascabeleos), tant dans ses manières simples, comme composées, et, bien qu'étant énormément les oiseaux qui les émettent dans des phrases variées, chacun avec leurs rythmes particuliers, modulations, tonalités et manières d'expression, non c'est pourquoi nous cesserons d'appliquer la dénomination correspondant à la chanson de chacun des oiseaux qui les exécutent.
Ce qui est rulos, par contre (lit se des Timbres hauts, moyens ou graves, selon le Code). Ils sont seulement propres et dominants du Roller canarien, et très de peu d'oiseaux sauvages : le serin cini, avec son varié répertoire entremeler et d'imparfaits rulos timbrado, et le verdier, avec ses « torreos » courts et longs. Nous verrons déjà plus loin la différence existante entre un Rulo (Timbre, selon le Code) et un Timbre (Cascabeleo, selon le même Code).
Comme ancien cultivateur et modeste habile de la culture de la bonne chanson du canari du Pays, il est logique qu'il manifeste mon désaccord, verbal et écrit, depuis les premiers moments de la tentative de créer et d'établir un type de chanson standardisée qui était antagonique du Roller : D'abord, on a pensé établir une race de canaris du Pays, de 16 cm de longueur, pour l'antagonisme du Canari espagnol proposé par l'U.C. de Barcelone dans le Congrès d'Aviculture tenu à Madrid en 1948, proposition qui a été approuvé avec l'approbation dont, précisément, ils prétendraient établir le canari antagonique du Canari espagnol diminué. Postérieurement, en 1951. devant l'échec du canari extraordinaire et ordinaire qu'on essayait d'implanter, on a considéré, très sagement par certain, que la taille était une raison secondaire, en donnant préférence à la chanson, ce pourquoi, on a établi l'actuel Code, en compilant, après des interprétations laborieuses, les notes méritoires qui définiraient à l'avenir au nouveau canari Timbrado Espagnol.
Il est logique que ceux qui ne connaîtraient pas une autre modalité de chanson du Pays que celui de ces canaris métissages et ordinaires, traduiraient dans le Code les concepts inexacts, propres de la fausse appréciation de la chanson de ces canaris impurs et sans que, jusqu'Ã ce jour. Malgré tous les regrets, on ait corrigé dans le plus minimal les erreurs commises alors.
Selon mon avis, ils existent, entre autres. Trois erreurs fondamentales, que nous démontrerons par la suite, qu'ils sont innés à la confection du Code : D'abord, fausse dénomination d'Espagnol Timbrado, par erroné concept de Timbre, pour le motif duquel et en les considérant de base de cette modalité de chanson, on stimule celles ruladas (plus ou moins parfaites), impropres toujours du canari du Pays. Deuxièmement, stimuler de même des rudesses d'expression en accord avec les textes phonétiques de quelques notes mérite établies, et Tiers, ne pas avoir précisément inclus aux variations d'EAU (Clapotis) comme de base de cette chanson, puisque celles-ci, seules ou changées avec les Cloqueos et accompagnées de Flutes, sont celles qui doivent constituer la structure de la bonne chanson du canari du Pays, totalement différent du Roller cadencée et grave.
Cette modalité de chanson qui ai alors existante ment préconisé et qui ai maintes fois prétendu inculquer leur culture aux amateurs du canari du Pays, il a effectivement et nous lui rappelons avec ignorance les vieux par amateurs espagnols : ma ville indigène a été la chanson de ceux-là tiens des canaris de Vich, dans la localité catalane duquel nous les cultivions dans mon enfance et dont la chanson méritoire était appréciée hors de nos frontières pour ne pas émettre de notes
désagréables et oui, par contre, multitude de variations bien vocalisées et modulées, dans un répertoire contrasté de tonalités diverses, dans lequel, en plus d'être reconnu beaux et méritoires Clapotis, Cloqueos et variante des Flutes, exprimaient des strophes complètes de la chanson de ce qui est rossignol émises avec une discrète sonorité et de sensibles tons de voix.
Malheureusement, la chanson de ce canari a été perdue à la suite de croisements malheureux : D'abord, avec celui alors appelé néerlandais (frisure), en obtenant un produits nul et en héritant aussi un chant véritablement ordinaire avec les Chaus-Chaus conséquents et Piaus-Piaus, qui avaient été jamais acceptée par ce qui est prestigieux éleveur de Vich. Peu ensuite, et étant donné la renommée juste qu'ils acquerraient les tiens du roller du Harz, le peu de canaris purs qui restaient encore ont été croisés, là pour l'année 1914, avec ces canaris allemands importés, en donnant lieu à des produits de chansons métissages avec ruladas et timbres rulados de basse qualité et qui, loin de les améliorer la chanson en général, il y avait perdre le timbre caractéristique et particulier d'une chanson heureuse, belle et méritoire, que tant de renommée et versés avait conquise dans toutes les provinces espagnoles et à l'étranger.
Le snobisme nouveaux types et de chansons de canaris étrangers, a été la cause dont ce qui est éleveur de Vich et, en général, ceux de toute l'Espagne seraient influencés par le désir d'incorporer à ses canaris, les caractéristiques de canaris étrangers, en donnant au triste, enfin, avec la véritable chanson, le type et la taille (12-13 centimètres) du canari de Vich, pour transformer, durant très quelques années, dans le canari appelé du Pays, dénomination admise ambiguë et qui ne définit pas à canari certain, tant par sa pureté ethnique, comme par les irrégularités morphologiques, ni par le degré de mystification de sa chanson. Caractéristiques irrégulières qu'ils sont faciles à vérifier dans les actuels canaris et qui démontrent les croisements malheureux dont ont fait l'objet ses ancêtres par la généralité des Espagnols éleveurs.
Pour ces motifs, il ne faut pas étonner, qui ceux qui, avec la meilleure volonté, ont établi le Code de l'Espagnol Timbrado, confondraient certaines notes qu'elles ont considérées de base de cette modalité de chanson, quand, en réalité, ils ne seront pas plus que des réminiscences, plus ou moins accusées, des croisements de d'il y a longtemps et qui, comme nous avons vu, ont été ceux qui ont sensiblement modifié la pureté de la chanson du canari de Vich.
Si nous nous conformons la composition et l'expression phonétique des Timbres appelés, comme ils sont définis et expliqués dans le règlement pour juger
la chanson Timbrado, nous vérifierons que ce qui est défini comme tel, sont authentiques Rulos, puisque s'ils produisent des sons ininterrompus ou continus, est preuve évidente qu'il existe un rapide battu de la consonne « r » ou '''' erres » sur les voyelles, en obtenant, par conséquent, tu redoubles ou Rulos, dont la qualité et plus grande paru (artistiquement) avec ceux du Roller, seront d'autant plus parfaits et accusés, tout au plus douces et tu brunis à l'audition, ils soient, respectivement, les consonnes et les voyelles mises en mouvement.
S.A concevoir la note de Timbres, on a cru que l'effet acoustique de ce qui est repiquée du timbre électrique, définirait mieux la dénomination adoptée, nous ne devons pas ignorer que un rapidité repique (il vaille la redondance) de 20-35 fois par second sur un matériel quelconque : métal, bois, etc., produit de même redouble ou rulos, de différente hauteur de son (ton), dont les coups de percussion représenteront aux consonnes de la composition phonétique, et les voyelles à la résonance du matériel touché par les percussions, en percevant un redoublez de mouvement continu régulier, dans lequel la voyelle sera variable en accord avec le matériel employé. Ainsi, dans le cristal et le métal nous percevrons un son en i, dans le bois et le carton, dans ou et ou, et même dans et ei, si le matériel utilisé est inadéquat ou défectueux (bois crevassé, par exemple), en produisant redoublez de même purs, mais de sons imparfaits et, par conséquent, moins agréables : ririri... rorororo... rererere... reireireirei...
Par contre, quand il n'existera pas de battage des consonnes sur les voyelles ou, ce qui est la même chose, que ce qui est à-coup est relativement lent, alors nous percevrons un son interrompu entre syllabe et syllabe, répondant ce rythme à la vitesse de percussion, que pour 4 à 7 coups par deuxièmement, nous obtiendrons, non un rulo, puisqu'il n'existe pas redouble, mais ce qui est internationalement appelé Timbre. Dans le Code figure cette note comme Cascabeleo, dénomination correcte qui s'adapte parfaitement, à l'onomatopée du son produit : lin-lin-lin-lin... et sera d'autant plus agréable, plus lissaient est émis (percussion lisse) : li-li-li-li-li...
Nous devons accepter, sans aucun doute, que ceux appelés « Timbres » dans le Code sont Rulos par beaucoup que nous voulons masquer eux avec des duretés expression et vocalises peu agréables, parce qu'ils posséderont toujours le caractère rodé qui permet de les reconnaître comme ce qui est qui sont vraiment. Comme nous voyons, cet erroné concept de « Timbre » a conduit à une fausse dénomination d'Espagnol Timbrado, étant ce qui est rulos, précisément, les notes qui sont considérées de base de la chanson du canari du Pays.
Cette anomalie grave du Code, indépendamment du confusionnisme indubitable qu'il a créé dans le penchant, pourrait, peut-être, conduire à des problèmes à caractère juridique, par le fait absurde d'éliminer à un canari pour émettre une roulade, parfaitement et catégoriquement définies comme tels, dans un Code de chanson, qui les évalue et il les considère de base.
Elles ne sont pas non plus fondamentales la bonne chanson du Pays, des Chaus-Chaus et Piaus-Piaus. Ces Flutes ordinaires, tout comme les Castagnettes appelées (variété de Cloqueos) : Chas-Chas-Chac-Chac... ont toujours été un motif de discrédit pour lesquelles ils les stimulaient dans leurs canaris. Cette appréciation nous l'avons maintenue à mon époque, déjà éloignée, de cultivateur du canari de Vich et d'elle ils maintiennent par les pays les plus avancés de la canari culture européenne, en appelant dédaigneusement « Choppers » aux canaris qui émettent ces expressions rudes, réellement désagréables.
Si ce qui est éleveurs du canari du Pays reconnaissent que les Chaus-Chaus et Piaus-Piaus, onomatopéique ment prononcés, produisent impression désagréable, et si nous reconnaissons également demain, que les Castagnettes avec leurs ordinaires attrait ne s'avèrent pas agréables à l'audition, et si, de même, les « Timbres », avec leurs roulades dans et ei ils produisent des sons nasaux et fissurés, nous devons admettre comme la certaine la seconde erreur du Code en stimulant des duretés d'expression, incompatibles et inadmissibles avec une tâche éducateur propre de la Canari culture : celle de développer de l'art, pas celle de créer laideur.
Ceux qui aient idée de la chanson canaris et oiseaux divers et aient entendu aux actuels canaris du Pays, ils auront observé que bonne partie du répertoire de sa chanson est développée avec imparfaites, mais à la fin véritables variations d'Eau dans ses manières simples et composées, malgré laquelle, ne figurent pas dans le Code les notes bien définies qui stimulent et améliorent leur culture. Les organes de chanson des canaris purs du Pays, sont dans les meilleures conditions physiques pour les émettre avec perfection. Par sa prédisposition innée à cette modalité de chanson aqueuse.
Avec cet article j'ai prétendu justifier le parce que de mes critiques réitérées à l'Espagnol Timbrado et, en même temps, faire comprendre à la masse du penchant les principales erreurs que maintiennent les amateurs avec la culture de la chanson de leurs canaris. Je ne veux pas citer des témoignages qui garantissent ma tâche continue pour inculquer la bonne chanson du Pays, ni rappeler d'anciens appels de fraternité pour établir en commun les normes véritablement techniques qui définiraient ce qui doit être cette chanson belle et méritoire. Ce qu'en effet je veux faire maintenant est de rapporter certaine
Activité « malheureuse » la mien dans le Concours d'Oviedo durant l'année 1952, qui a donné par conséquent secondaire, la découverte de certains canaris purs du Pays (Vich) et dont les descendants sont très d'actualité par son activité sensationnelle dans le dernier Concours dans la capital asturienne. Les faits sont les suivants :
Durant l'année 1952 j'ai été requis pour qualifier la chanson Roller dans le Concours d'Oviedo. Accomplie ma mission, j'ai été invité pour juger de même la chanson du Pays, puisque cette modalité de chanson avait déjà agi plusieurs fois dans ceux de Madrid. Ma surprise a été grande quand ils m'ont présenté récemment des listes imprimées avec les notes de mérite de l'actuel Code établi. Vu mon critère particulier sur cette chanson, que j'ai toujours maintenue invariable, je ne les ai pas acceptées et ai jugé conformément à l'impression générale de la chanson de chaque canari sur une certaine ponctuation maximale. Je ne sais pas si la chaleur lourde que j'ai sentie a été par mon attitude adoptée, ou par la méfiance reflétée dans les faces des auditeurs qui assistaient au Concours. M'entre, toutefois, la satisfaction intime du devoir accompli, en qualifiant aux canaris conformément aux critères que connaissent maintenant mes lecteurs.
Allant par le chemin absurde qui prétendait conduire à la Canari culture espagnole, me suis transféré à Avilés pour voir mes parents. Un des d'eux ma parlé d'un ami le sien, D. Manuel González Monteserin, qui avait des canaris que « ils chantaient très bien » et il m'a invitée à les écouter. A été grande ma surprise en voyant et entendre à ces canaris, dont la race la croyait totalement perdue en Vich, puisqu'elle m'a faite les rappeler par sa chanson, taux, taille et plumage. A dû être tel mon étonnement et joie par une telle découverte, qui à Madrid ai déjà reçu le journal « Voix d'Avilés », avec une rubrique, dans laquelle on citait ma découverte et elle la transcrivait, un peu plus ou moins, les éloges qu'ils avaient mérité de tels canaris.
Cette année j'ai été invité de nouveau pour agir le Concours de Roller d'Oviedo. Grâce à l'ami D. Santiago Ruiz, qui s'est déplacé aussi là pour juger la chanson du Pays, j'ai eu la satisfaction, cette fois par départ double, puisque, en plus d'écouter à nouveau de bons canaris du Pays qui ont causé une sensation, son éleveur D. Vicente Argüelles Villaverde m'a faite rappeler ma découverte d'il y a neuf ans, et il m'a admise spontanément et sincèrement que ces canaris procédaient, après certains croisements effectués, des canaris qu'il avait acquis en Avilés à l'occasion des nouvelles publiées dans le journal de cette ville asturienne, dont les canaris conservait encore.
Je me permettrais, modestement, de recommander à M. Argüelles que n'étende pas le répertoire de sa chanson avec celles-là des « notes » qui disent d'être fondamentales du canari du Pays. Il possède une souche meilleure qu'est susceptible de purifier, en essayant d'améliorer dans la mesure du possible la modulation, la diction et la vocalise agréable, de toutes les notes, et en stimulant les variations d'Eau, Cloqueos et Flutes. Avec ces notes, dans ses manières simples et composées, on obtient une chanson varié et énormément de mérite, qui causerait une sensation dans les Concours Internationaux.
Je répète à nouveau maintenant, ce que j'ai publiquement dit précipitamment à Oviedo à être hôte par le Ruiz amical, quand il jugeait à ce lot de canaris : « Il est ainsi comme nous devons focaliser la Chanson espagnole ; tout le reste qui est préconisé est faux et absurde ».
Est susceptible d'établir un Code qui compile toute la beauté et variation avec laquelle peuvent enchanter les canaris de cette modalité de chanson ? Nous croyons sincèrement qu'oui. Le penchant espagnol a le mot.
Par Antonio Drove Aza
Revue Oiseaux nº 13, 1961