La perfection du chant Espagnol de nos canaris exige la réforme du Code

 

Dans un article, publié dans des Oiseaux il n'y a pas beaucoup de temps, j'ai dit que dans Asturies il y avait des très bons canaris de chant espagnole confiait qu'ils puissent les ouïr dans le Concours Ibérien qui a eu lieu a Valence. Il n'a pas été possible qu'ils les écoutent a Valence pour deux raisons : une, parce qu'on n'a pas pu envoyer plus qu'un petit lot d'oiseaux et ont étais beaucoup affecté par le long voyage, et n'ont pas chanté ; et une autre, parce que, il doit postérieurement avoir lieu notre Concours local, et les possesseurs des meilleurs exemplaires sont retissant quand il faut les envoyer dans des longs déplacements en les exposant à des contretemps, crainte justifiée surtout quand à la distance faudra ajouter de grandes différences de climat. Cependant , mon affirmation est que dans Asturies il y a de très bons canaris de chant espagnole et ont était pleinement confirmée dans notre Concours, tenu en février de cette année, où l'ont a pu contraster, avec une pleine autorité, nos amis enthousiastes et les chers messieurs Drove, Riche et Ruiz, qui ont agréablement été appliqués par un bon nombre d'oiseaux qui dans leurs chants intercalent avec profusion une série de beaux sons et quelques '« phrases » - de leurs expression, parce qu'elles se ressemblent avec de très belle note , très semblables à ceux des oiseaux sauvages, bien qu'en les améliorant ; et d'autres, complètement originales.

On a fait beaucoup de commentaires sur l'origine de ces canaris et on a même suscité une certaine polémique sur ce point, en contestant les uns sa découverte et d'autres son origine ; mais certain c'est que la plupart de ces notes existent dans nos canaris depuis plusieurs années, et si ceux qui les émettent n'ont pas été soulignés avant il est du à ce qu'étant des cours conformément au Code en vigueur ils ne pouvaient pas ressortir, puisqu'ils n'avaient pas le répertoire en lui qu'on exigeait. Je m'expliquerai : ces oiseaux ont une belle conjointe ceux appelés floreos ou notes lentes, mais manquent de quelques notes qui bien que de basse ponctuation influencent la qualification finale, qui s'avère toujours plus faible que celles des  autres celles qu'en ayant un chant plus vulgaire ils sont choisis conformément au Code.

ET, arrivés à ce point, nous apparaît la question pourquoi ont a attiré l'attention de ces oiseaux sur lesquels sont-ils autorité en la matière par ses

Connaissances, goût en jugeant le chant du canari et ses occasions de contraster des valeurs dans les déplacements fréquents aux Concours ? À mon avis, par la musicalité, l'harmonie et la facilité difficile qu'ont pour émettre une série de belles et variées des notes des appels lents ou floreos. Beaucoup d'amateurs, et y compris les débutant, jugent qu'il est ici où est situé le mérite de nos canaris espagnols, dans ces floreos, ces notes avec écho, dans toute cette série de sons dans laquelle il y a harmonie, goût, douceur et qui sont, dans un mot, agréables à l'audition, qu'ils ne fatiguent pas et qu'on souhaite que l'oiseau les répète, en opposition avec ces autres sons qui par leur rudesse, monotonie et persistance se transforment au bon goût et jusque dans un tourment pour les nerfs de celui qu'il écoute.

Ce juste récompense de ces notes dures et désagréables et que sa ponctuation influence définitivement le résultat d'un concours ?

Allons-nous d'abord continuer à mettre en concours des oiseaux vulgaires par le fait d'avoir un répertoire préfabriqué ?

Triomphe l'artiste qui chante la partition sans modifier une seule note, ou celui qui avec son goût et ses flexions de voix '« arrive » plus agréablement à l'auditoire ?

Nous devons méditer sur ce que nous voulons obtenir avec nos canaris. Si nous prétendons que les concours soient comme une carrière d'obstacles nous obtiendrons probablement un canari standardisé, normalisé, mais monotone dans son uniformité ; il paraît plus logique que ce que nous essayions d'obtenir ou un canari de chant agréable, variée, et ce qui non seulement est apprécié par les techniciens, mais par le débutant, qu'il peut seulement le juger comme agréable ou désagréable à l'audition.

Dans le Code actuel on apprécie une tendance très marquée à éliminer tout ce qui peut paraître  au Roller. Or, l'origine du canari est cette dernière pour toutes les modalités de chant, et en étant ceci indubitable, comment va-t-il et si possible établir une différenciation, une délimitation tellement tranchante dans deux variantes d'une même chose ? Ce rejet systématique à tout ce qui se ressemble au chant Roller, est hors de propos parce qu'il manque de fondement et révèle une interquation injustifiée depuis le moment que beaucoup, sont considéré comme autorités en la matière, reconnaissent la similitude dans beaucoup de notes.

Le chant Roller est composé de passages a ton grave, reposé et y compris mélancolique. Pourquoi ne peut pas avoir le canari espagnol un répertoire semblable seulement qui chante dans un autre style et avec un autre rythme et un ton plus heureux ?

Je ne prétends pas avec ce qui a été dit qui sont éliminé du Code une série de notes communes à nos canaris et qui doivent même servir a l'appuiement et remplissage du chant ; mais en effet se les d'une ponctuation minimale aux notes vulgaires qui n'ont pas de difficulté et qui sont inévitables, en augmentant la ponctuation dans celles de mérite, qui sont précisément celles que ne peuvent pas donner plus que ces oiseaux qui ont des facultés et conditions pour les émettre et de cette façon compenser celles de peu de valeur qu'ils peuvent omettre et qui en réalité ne sont pas nécessaires pour que ce soit un bon chanteur.

Il faudrait souhaiter que ceux qui maintiennent des critères très différents à ceux exprimés, nous honorent avec leurs avis en les exposant dans notre Revue pour contraster des points de vue et, en définitive, décider des normes qui servent de voie à obtenir ce que chacun, à sa façon, souhaite, non une chose qui pourront perfectionner nos canaris de chant espagnole.


Par Cayetano Pérez Apprivoisé

Revue Oiseaux nº 16, 1961