Mon critère dans la sélection du timbrado Espagnol

 

J'ai trouvé cet article, dans une page d'internet, et je considère se document intéressant écrit durant l'année 1972 par Rafaël Martínez Bouzo, juge de canari timbrado.

Rafaël Martinez Bouzo est une des figures les plus remarquables dans le développement du timbrado moderne, de juge international et de disciple direct de ce qui est authentique de la ligne canari timbrado discontinue , Antonio Drove Aza.


Canari timbrado asturien des années 1960 ainsi que dans son expansion par le reste de l'Espagne pendant les 70 et 80, travaillant aussi directement les modifications successives du Code du timbrado de 1962, corrigeant dans une grande mesure les manques techniques graves de ce qui est original et en les entrants à beaucoup de lignes du timbrado, héritières directes de l’ancien « canari du pays » et absolument margées dans les Codes primitifs.


Dans ces lignes je ne veux rien inclure mis en rapport avec les notes ou le Code de chant de ce canari, mais plutôt faire un commentaire embarqué à orienter et dans la mesure du possible essayer de clarifier quelques doutes que, je suis sûr, ont beaucoup d’éleveurs de ce type de canari. Beaucoup d’éleveurs me consultent sur la façon d'obtenir de bons canaris timbrado Espagnol

Ma réponse à tous est cette dernière : tout dépend de la sensibilité musicale, du goût de l'éleveur.

Après avoir entendu des canaris et pondérer son avis sur eux, nous pourrions former, en partie, un jugement sur les caractéristiques de l'amateur en question.

Il faut très excuser, qu'un amateur qui commence à donner ses premiers pas dans ce hobby, et n'ayant pas la façon de rendre un jugement comparatif, on croit que ces canaris qu'il possède, peuvent être ce qui est meilleurs ; mais qu’ après avoir entendu d'autres exemplaires authentique et qu'il les valait en qualité ne poura continuer avec ces canaris et il fera tout ce qui est possible pour obtenir d'autres canaris.

Cet amateur naissant a de la sensibilité musicale et sans doute arrivera à avoir de bons exemplaires.
Le fait qu'Asturies ait de la renommée de posséder les meilleurs canaris timbrado Espagnol, on doit à la grande sensibilité de certains éleveurs et à la chance d'avoir eu entre nous au grand ami et au cadeau expert exceptionnel Antonio Drove Aza, ainsi que le bon amical cadeau Santiago Ruiz, homme de grande sensibilité musicale.

À ces deux messieurs nous devons les amateurs asturiens la réalisation d'un canari de chant lisse, doux, mélodique, variée et à la fois harmonieux. Depuis le premier concours, il y a déjà des années, lequel a agi comme juge mon grand ami et professeur cadeau Antonio Drove Aza, l'homme avec davantage de connaissances sur le chant des oiseaux d'autant que je m'ai trébuchée, depuis ce même moment il a insisté a la réalisation d'un canari timbrado Espagnol qui était digne représentant de l'Espagne dans tout type de compétitions, la vérité est qu'il n'a pas été fait tout se qu'il se mérite, mais encore ainsi, on a obtenu quelque chose dont il nous a enseignées.

Il n'est pas juste, nous ne consentons pas ni pouvons admettre qu'on appelle canari timbrado Espagnol, à tout canari qu'il chante haut, contrairement à ce que c'est le Roller.

Dans presque tout les concours d'Espagne, ici aussi, on reçoit les canaris dans trois groupes : Roller, timbrado espagnol et Couleur. Dans le groupe de timbrado, on admet tout canari, qui par le ton de ses notes diffère du Roller et que celles-ci les soit plus haute et sonores possible.

Ensuite le juge dira s'il est bon ou mauvais, et comme ceux qu'ils crient le plus et qu’ils sont le plus entendus, seront mieux vendus, et dans leurs acheteurs nous aurons de nouveaux amateurs trompés lesquels perdront plusieurs années ou trompés par la tromperie ils laisseront ce joli penchant. Non, amis ; ce n'est pas celui-ci le chemin.

Soyons honorés. Vous Pourrez dire que vous ne comprenez pas, mais à cela je répéterai ce que je dis toujours à mes amis. Vous ne pensiez pas aux prix, vous rejetez tous ceux que vous n'aimez pas, parce que les canaris sont élevés pour le délice personnelle et non pour qu'un Monsieur les récompense. Vous savez bien en outre qu'ils ne gagnent pas toujours ce qui est meilleurs, parce que plusieurs fois ceux-ci passent inconnus dans les concours. Je ne comprends pas comment un Monsieur peut supporter dans sa maison des canaris qu’il n'aime pas, seulement pour le juge, le prix et non pour le plaisir ; est t’il élevé pour le juge ou pour l'agrément personnel ?

Concrètement dans Asturies nous sommes beaucoup d’amateurs que nous essayons d'exiler les chaus-chaus, piaus-piaus, chac-chac et toute classe de stridences, encore en connaissance de cause dont ces canaris dans quelques concours seront en infériorité de notes. D'autre part, nous essayons d'introduire ou meilleur étendre des notes qui en étant dans le code, sont pour nous plus agréables, comme sont une bonne variété de floreos, des notes composées, cloqueos et remarques d'eau, lesquelles arrête notre jugement, ils font que le chant du canari timbrado Espagnol nous résulte davantage de sucrerie et harmonie.

Des bons amateurs de Xérès et d'Alicante partagent ces goûts et ont actuellement beaucoup de canari timbrado aussi bons comme ceux d'Asturies.

Et à l'occasion de mon activité comme juge dans le Concours National de Séville et dans ce qui est Mondial de Munich, j'ai fait personnellement beaucoup de consultations à des juges internationaux, auxquels j'ai exposé le canari qui, à mon avis, pourrait représenter dignement l'Espagne, avec mon critère, en même temps qu'ils me signalaient les grandes difficultés qu'aurait la réalisation d'un canari d'une hauteur tellement haute.

Comme je considère qu'élever et choisir des canaris, c'est un hobby pour toute une vie, employons le par tous et essayons que ce canari timbrado Espagnol, soit admiré par les grands techniciens mondiaux et soit étendu avec la même dignité que beaucoup d’autres variétés.

 

Par Rafaël Martinez Bouzo, Juge de Chant timbrado

Revue Oiseaux, 2º époque, nº 18, 1972

Traduction de DELERIA FRANCOIS