AVIS SUR Le chant du canari TIMBRADO ESPAGNOL

 

Dans le but d'avoir lieu cette année l'IV Championnat du Monde de la C.I.C à Barcelone, l'Association de Canari culteurs espagnols a profité de l'occasion de présenter ses Timbrado et les faire connaître dans le cadre international. Par M. Rodriguez Cruz ils ont été soumis également à considération, en les faisant écouter à cet effet dans une réunion de juges internationaux de chanson, étrangers et nationaux.

Le concept que l'Espagnol Timbrado a mérité à ces messieurs je ne me considère pas autorisé à ne pas le définir et non plus est celui-là mon but ; par conséquent, tout autant qu'écris n'est pas plus que mon avis modeste, mais sincère.

Avant de commencer je crée nécessaire faire figurer que je suis un passionné de la chanson du Harz et que seulement je me consacre à la culture et à l'étude de cette race ; de cette façon je veux dire qu'en connaissant en profondeur la chanson Timbrado, mon avis ne peut pas être très gratuit et être soumise à possibles à équivoques ; cependant, toutes ces assertions, je n'ai pas voulu garder pour moi mes appréciations.

Ai écouté entretemps pour la première fois la chanson Timbrado Espagnol dans l'Exposition Nationale tenue à Madrid l'année passée jugeait M. Moreno, et également par seconde fois quand le faisait dans le Colisée de Barcelone M. Crespo et, finalement, dans la faite allusion réunion de juges.

Et avec toute franchise, la chanson j'ai franchement aimé beaucoup et il m'a grandement appliquée surtout, par sa vigueur. Possède des roulades d'eau très des sucreries et définis, beaucoup de variétés de notes, recherches et lingual-palatiales,

Avec toute une bonne gamme de tons qui lui donnent une caractéristique générale très brillante et heureuse.

Ma félicitation plus cordiale à Canari culteurs espagnols, qui sans se écarter de l'origine canarienne de toutes les races, ont su l'épurer et le rendre digne, en restant à la hauteur qui en réalité devait avoir été depuis beaucoup de temps.

Dans le domaine national ceci est pleinement obtenu, et avec la volonté qui les encourage, sans aucun doute, obtiendront très tôt la même chose dans un secteur sans limites'.

Celui-ci est mon désir fervent et par la dénomination qu'ils ont eu le succès de lui appliquer, doit être celui de toute la canari culteurs de l'Espagne.

-----------------

Celle-ci est l'avis sincère de notre bon ami M. March quand elle ne connaissait pas en profondeur le règlement de celui Timbrado. Maintenant que doit mieux le connaître beaucoup, par son lien à la F.O.E., dont fait partie l'A.C.E., et comme figure maximale et prestige de la Fédération Ornithologique espagnole comme expert en chanson, nous nous permettons de le demander :

- Où figurent dans le Code de celui Timbrado ces roulades Eau tellement définies et sucreries ?

- Ces notes battues, qu'il cite ne pouvait pas avoir été simplifié en appelant simplement par Rulos, malgré ses caractéristiques brillant et heureuses ?

- La dénomination de d'Timbrado qu'il a considérée tellement juste doit être attribué, logiquement, à la prépondérance de notes de base déterminées, par conséquent, sont du aux notes battues (Rulos), ou à au lingual-palatiaux (Timbres) ? S'ils sont celles-ci ils ne figurent pas dans le Code mais sous le nom de Cascabeleos, et la dénomination adoptée n'a pas été celle de chanson Cascabelero, mais celle de d'Timbrado.

- EN faisant référence la purification et la sanctification du canari du Pays, M. March n'a pas été précis dans ses appréciations pour ne pas connaître d'autres canaris meilleurs. Demander, s'il vous plaît, à des anciens amateurs compatriotes le nôtre o

Simplement à notre commun amical cadeau Joaquin Ferrer, celui qui le convaincra de sa fausse appréciation.

D'autre part, comment pouvait avoir été épurée la chanson, si les canaris ont émis des notes battues (Rulos) que le règlement la phrase et qui ne sont en outre pas propres de la chanson pure du Pays ?

- Vu la méticuleuse du Monsieur March, par toute connaissance et faite l'éloge, de ne pas transiger avec ce qu'il suppose le plus petit vestige de laideur dans la chanson, ils seront bien des stridences, mauvaises modulations, exécutions ordinaires, etc., etcetera, crée sincèrement et techniquement que le règlement comme écrit et applique-t-il l'onomatopée correspondante aux notes, est capable de créer culture dans la chanson de ceux Timbrado, ou, au contraire, de stimuler des rudesses et des laideurs ?

Couronnement : Il ne faut pas étonner que cet avis sincère de M. March, publiée quand il ne connaissait pas le règlement, il était favorable, par son prestige énorme, à la publicité qui a conduit à des aveuglements et à la confusion du Nobel penchant espagnol. Aujourd'hui, qu'on a reconnu l'Espagnol Timbrado, nous demandons : Pourquoi un règlement s'est présenté à son approbation internationale avec conscience de sa fausseté et qui doit servir de discrédit à la Canari culture espagnole ?

 

Par Salvateur March Carnasa

Expert international juré.

Membre de le. Association Ornithologique, de Barcelone.